Guerre mondiale et astrologie : que nous annonce réellement 2026 ?

Ce matin, je me suis réveillée en pensant à la guerre. Oui, à la guerre. Cela n’a sans doute pas échappé aux plus attentifs d’entre vous : le chef d’État-Major français annonce la possibilité d’un conflit avec la Russie avant 2030, l’État parle désormais de kits d’urgence, et de l’autre côté de l’Atlantique, Donald Trump envoie Nikki Minaj à l’ONU pour évoquer une éventuelle guerre destinée à “sauver les chrétiens”. Bref, tout autour de nous, les institutions préparent nos inconscients à l’idée d’une guerre mondiale, presque comme si ce scénario devenait une normalité à intégrer.

Et je vais vous avouer une chose : toute ma famille vit en France, et pourtant, je ne panique pas. Je ne dis pas que cette éventualité ne m’effraie pas. Je dis simplement que je ne panique pas. Pourquoi ? Parce que je sais que c’est plausible, et surtout, parce que les astres pointent dans la même direction.

Lors du dernier passage d’Uranus en Gémeaux, nous étions précisément en pleine Seconde Guerre mondiale. Ce transit, lié à la période de 1941 à 1949, a été marqué par des avancées considérables dans la communication, l’émergence des prémices de l’informatique et le développement de la bombe atomique. Ce même transit revient entre juillet 2025 et mai 2033. Et si l’on remonte encore un peu dans le temps, on se rend compte que la Seconde Guerre mondiale a officiellement éclaté en 1939, sous le transit précédent, celui d’Uranus en Taureau (1935–1941). Autrement dit, les énergies qui précèdent un conflit majeur étaient déjà en place avant même qu’il ne soit déclaré.

Alors, sommes-nous déjà en train de vivre la troisième guerre mondiale sans qu’on nous l’annonce clairement ? Pour moi, la réponse est assez évidente : oui. Les signaux sont là, partout, et chacun d’entre nous peut les voir s’il choisit d’ouvrir les yeux. Inflation galopante, déplacements massifs de populations, montée des extrêmes, instabilité politique — la France a tout de même connu trois Premiers ministres en trois ans, et la Belgique, capitale de l’Europe, reste sans gouvernement depuis plus de 500 jours. À cela s’ajoutent les scandales pédocriminels qui éclatent, les dossiers Epstein, la guerre Israël–Palestine qui s’enlise, et les conflits multiples qui se multiplient sur le continent africain. Si l’on relit un tant soit peu nos cours d’histoire, on voit parfaitement les parallèles.

J’avais entendu parler de cette grande conjonction tout au long de l’année précédente, de ses implications possibles, et de l’onde de choc qu’elle promettait. Lorsque mes ancêtres m’ont dit de déménager en 2018, je n’avais pas toutes les pièces du puzzle, mais en 2020, j’ai compris. Un confinement à Paris aurait été un cauchemar pour moi. À la place, j’étais au bord de la rivière, libre d’y aller quand je voulais, avec mon petit épicier au coin de la rue, dans un environnement qui me permettait de respirer. J’ai alors réalisé que la guerre — au sens symbolique ou littéral — ne signifie pas automatiquement la fin de la vie. Durant la Seconde Guerre mondiale, beaucoup de gens ont prospéré, ont créé, ont reconstruit leur monde intérieur et extérieur. La vie continue, différemment, mais elle continue.

Sachant que nous allions probablement vivre des périodes d’isolement, j’ai poussé tous mes programmes en ligne. J’étais prête. Et au final, le confinement a renforcé mes revenus. Beaucoup m’ont découverte pendant cette période, notamment sur YouTube et Facebook où je faisais des lives quotidiens. Pendant que certains prospéraient, d’autres vivaient une forme de naufrage intérieur : perte d’emploi, perte de sens, dépression, divorces, écroulement psychique. Ce qui faisait toute la différence ? La connexion — ou la déconnexion — à leur intuition et à leur guidance intérieure.

Et ce schéma va revenir en 2026. Tous les signaux sont là, mais très peu veulent les voir. Les lanceurs d’alerte parlent, mais leurs voix se perdent dans la cacophonie de l’actualité et de la peur.

Alors, qu’est-ce qu’on fait de tout ça ? On ne panique pas. On se prépare. Parce que 2026 n’est pas une année anodine : c’est une année-charnière, un pivot collectif. Beaucoup vont prendre la vague en pleine figure, comme en 2020, mais ceux qui ont une conscience énergétique développée, ceux qui comprennent les cycles, ceux qui sont capables de lire les signes… ceux-là vont surfer. Ils vont transformer ce chaos en moteur d’évolution, plutôt qu’en mur contre lequel se fracasser.

Nous ne pouvons pas contrôler les gouvernements, les crises géopolitiques ou l’effondrement des systèmes. Mais nous pouvons contrôler notre terrain intérieur : notre structure, nos choix, nos ressources, notre énergie, notre vision. Et c’est là que l’astrologie devient un outil stratégique — pas un gadget new age. Uranus en Gémeaux ne symbolise pas uniquement la guerre ; il ouvre la porte au chaos et à l’innovation, à la destruction et à la réinvention. C’est un transit qui fissure les structures… pour créer des brèches vers des possibilités que nous ne pouvions pas imaginer auparavant.

Depuis un an, je le répète : 2026 n’est pas une année où l’on réagit. C’est une année où l’on prend l’avance stratégique. Où l’on revoit son organisation de fond. Où l’on sécurise ce qui compte vraiment. Où l’on cultive l’écoute intérieure avant de se laisser avaler par le bruit du monde. C’est aussi l’année où l’on réaligne sa destinée avec la personne que l’on devient, plutôt qu’avec un ancien monde en train de s’effriter.

Et si je devais résumer ce que je veux que vous reteniez, ce serait ceci :

→ La peur est un signal, pas une direction.
→ L’intuition est une boussole, pas un luxe.
→ L’énergie est votre première ligne de défense et votre première ligne d’expansion.
→ Et la clarté… reste votre arme la plus puissante.

Nous entrons dans un cycle où seules les personnes alignées, lucides, spirituellement bien équipées et mentalement solides vont naviguer avec stabilité. Et si je vous parle de guerre aujourd’hui, ce n’est pas pour vous effrayer, mais pour vous réveiller, vous recentrer et vous rappeler que les grands bouleversements n’épargnent personne — mais qu’ils favorisent toujours celles et ceux qui sont prêts.

Alors je vous laisse avec cette question, simple mais déterminante : comment vous préparez-vous à l’année qui arrive ? Et si vous êtes honnête avec vous-même… comment vous étiez-vous préparé.e en 2020 ? Quelles intuitions aviez-vous écoutées — et dont vous vous êtes félicité.e ensuite ? Et lesquelles aviez-vous ignorées… avant de regretter de ne pas vous être fait confiance ?

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Nous entrons dans un cycle qui demande plus de lucidité, plus de présence, plus de maturité énergétique, pas davantage de panique. Plus de conscience.

C’est exactement pour cela que j’ai créé Soulful Year : pour vous aider à naviguer les bouleversements à venir avec vision, stratégie et guidance intérieure.

J’ai hâte que vous nous rejoigniez.

Prends soin de toi,
Clarissee